Ce mercredi 7 février, les élèves de 5e secondaire ont participé à l’atelier “Poésie Masculine”
La violence sexiste sévit au quotidien dans les rues, dans les transports en commun, à l’école, sur le lieu de travail. En Belgique, une loi du 3 août 2014 condamne tout geste ou comportement qui méprise gravement et publiquement une personne en raison de son sexe. Ainsi, toute personne qui harcèle sexuellement une autre personne en rue ou ailleurs peut être poursuivie devant le tribunal correctionnel. Bien qu’il n’existe pas de profil type, ce sont le plus souvent les hommes qui sont identifiés comme auteurs des faits et les femmes qui en sont majoritairement victimes.
Créé par un collectif d’artistes belgo-français composé de Gilles de Boncourt, Nathalie Erin et Frédéric Durieu, Poésie masculine est un dispositif artistique multisensoriel qui questionne notre intégrité physique et psychique dans l’espace public.
Les participant.e.s seront amenés à déambuler en petit groupe dans un simulateur animé d’images et de son tridimensionnel qui les confrontent à des propos méprisants accompagnés de gestes obscènes qui les réduisent en pur objet sexuel.
A la sortie de cette expérience immersive, des médiateurs psycho-sociaux recueilleront le ressenti des participant.e.s, les aideront à libérer la parole autour des questions d’inégalités de genre, de consentement et de harcèlement en général. Ils aborderont également le cadre répressif et la prise en charge des victimes.
En partenariat avec Synergie Wallonie, le Centre d’Action Laïque de Namur, l’AMO Passages, l’AMO Basse-Sambre, Imagin’AMO, le Service Droit des Jeunes, le Centre de planning familial Willy Peers et le Conseil d’Arrondissement de l’Aide à la Jeunesse de Namur et l’Université de Namur.
Créé par un collectif d’artistes belgo-français composé de Gilles de Boncourt, Nathalie Erin et Frédéric Durieu, Poésie masculine est un dispositif artistique multisensoriel qui questionne notre intégrité physique et psychique dans l’espace public.
Les participant.e.s seront amenés à déambuler en petit groupe dans un simulateur animé d’images et de son tridimensionnel qui les confrontent à des propos méprisants accompagnés de gestes obscènes qui les réduisent en pur objet sexuel.
A la sortie de cette expérience immersive, des médiateurs psycho-sociaux recueilleront le ressenti des participant.e.s, les aideront à libérer la parole autour des questions d’inégalités de genre, de consentement et de harcèlement en général. Ils aborderont également le cadre répressif et la prise en charge des victimes.
En partenariat avec Synergie Wallonie, le Centre d’Action Laïque de Namur, l’AMO Passages, l’AMO Basse-Sambre, Imagin’AMO, le Service Droit des Jeunes, le Centre de planning familial Willy Peers et le Conseil d’Arrondissement de l’Aide à la Jeunesse de Namur et l’Université de Namur.