L’avenir. Jean-François LAHAUT
NAMUR – L’Athénée royal de Namur a tenu ses portes ouvertes. Présentation des options et animations diverses étaient au programme de la journée.
Chaque année, dans le courant du mois de mai, l’Athénée royal François Bovesse de Namur organise une journée portes ouvertes à destination du grand public. La dernière en date, qui a eu lieu le samedi 18 mai dernier, a coïncidé avec la fancy-fair de la section fondamentale de cet établissement de la Communauté française.
Tout au long de l’après-midi, les visiteurs ont eu l’occasion de découvrir les différentes options proposées par l’école qui accueille, à ce jour, quelque 850 élèves. Préfète depuis un peu plus d’un an, Florence Gauthier était bien évidemment présente. «Le but de ces portes ouvertes, confie-t-elle, est de présenter et de mettre en avant nos différentes options. Nous sommes un établissement d’enseignement général et nous proposons, dans les 2e et 3e degrés, les options classiques, latin et grec, mais aussi scientifiques, économiques, sciences humaines et sociales, ainsi que langues modernes. Aujourd’hui, les gens ont l’occasion de rencontrer les professeurs, de discuter avec eux, de se faire expliquer les grilles des cours, etc.
La fusion se passe très bien
Hormis la section fondamentale, seuls les deuxième et troisième degrés de l’Athénée royal François Bovesse étaient à découvrir lors de cette journée portes ouvertes. Le premier degré a organisé la sienne en février dernier. «Cela s’explique, précise Florence Gauthier, parce que les inscriptions dans le premier degré commencent dès le mois de février. Il était donc normal que le premier degré organise ses portes ouvertes à cette période. Toutefois, comme nous avons fusionné avec le Lycée de Namur, le 1er septembre dernier, nous ne constituons plus désormais qu’une seule et même école. À l’avenir, il ne devrait plus y avoir qu’une seule journée portes ouvertes pour toute l’école.»
Quant à cette fameuse fusion, elle s’est plutôt bien passée rappelle Florence Gauthier. «C’est vrai que, à l’époque, il y avait quelques inquiétudes, mais je peux dire que, aujourd’hui, les inquiétudes du début ont laissé la place à la plénitude. Ça se passe très bien. Nous avons uni nos forces derrière un projet commun. Les professeurs sont rassurés et les parents aussi. »